Le coronavirus vient de faire encore une nouvelle victime. Une de plus, me direz-vous, parmi tant d’autres. Rien d’extraordinaire jusque-là. Sauf que celle-ci sort du lot par son originalité. Je ne fais pas allusion à l’excentricité de ce ministre anglais qui s’est moqué ouvertement de la Covid avant de tomber malade à son tour. Ni à l’arrogance du président américain qui a outrancièrement minimisé la pandémie avant d’y succomber lui-même. Je fais en réalité référence à l’un des cobayes humains qui testent actuellement les multiples candidats-vaccins. Car la ruée vers l’or est lancée depuis belle lurette. Les inscriptions des labos à « Qui veut gagner des milliards » sont closes. Le premier qui franchira le poteau d’arrivée remportera le gros lot. Son antériorité lui assurera l’hégémonie commerciale pendant quelque temps. Alors, tous les coups sont permis, en commençant par brûler les étapes, au risque de mettre en danger les testeurs d’abord et les patients par la suite.

De source sûre, comme disent les journalistes, ce serait un dommage collatéral de la vaccination, imprévisible et mortel, qui aurait touché un participant à une étude au Royaume-Uni. Selon le communiqué de presse, il s’agirait d’une « mauvaise réaction ». Voilà un euphémisme couramment utilisé par les firmes pharmaceutiques. Un pur produit de la langue de bois qui sert de langage international aux fabricants de vaccins. En fait, cette expression pudique désignerait en réalité un « effet indésirable grave ». Une conséquence suffisamment sévère pour imposer que l’on stoppât immédiatement le programme jusqu’à ce qu’un comité indépendant ait évalué la dangerosité de l’incident.

Pour rassurer les millions de futurs bénéficiaires de ce vaccin encore expérimental, la direction du laboratoire AZ a tenu à faire passer le commentaire suivant : « Il s’agit d’un contrôle de routine qui doit se produire chaque fois qu’il existe une affection potentiellement inexpliquée dans l’un des essais, afin de garantir le maintien de l’intégrité de nos essais ». On ne pourra pas reprocher au groupe pharmaceutique cette transparence plutôt inhabituelle dans la profession. On aurait presque fini par croire à une forme d’empathie de la part des responsables de la firme. Jusqu’à ce que nous soyons détrompés par l’un des expérimentateurs qui tenta maladroitement de tranquilliser les gens en déclarant : « C’est extrêmement courant. Il y a presque toujours quelqu’un qui meurt ou qui a un accident vasculaire cérébral pendant un essai clinique. » Nous voilà donc réconfortés sur le plan statistique. Un cobaye humain peut parfaitement mourir en scène, comme Molière, sans qu’il puisse être établi de lien de causalité directe avec le vaccin. Tout cela est parfaitement normal et ne doit en rien modifier la procédure de mise sur le marché.

Il est malgré tout surprenant, à notre époque, de voir se produire un problème d’une telle gravité en phase 3 d’un essai thérapeutique. On aurait pu imaginer que les deux étapes précédentes, chimique et biologique, étaient désormais suffisamment maîtrisées par des scientifiques aguerris pour anticiper et prévenir la survenue d’éventuels évènements indésirables aussi délétères. Un peu comme si, aujourd’hui, un avion nouvellement construit se révélait incapable de quitter la piste de décollage lors de son vol inaugural. Décidément, les équipes de recherche ont du mal à transformer leurs essais cliniques. La célèbre phrase du Général De Gaulle reste d’actualité dans l’expérimentation médicale : « Des chercheurs, j’en trouve. Des trouveurs, j’en cherche ».

On peut surtout se demander comment un simple vaccin peut provoquer de tels dégâts. Après tout, le principe est remarquablement simple, voire simpliste. On inocule à un individu sain un microbe atténué, fragmenté, inactivé voire carrément mort, pour faire réagir positivement son corps et l’amener à mieux se défendre une fois confronté aux symptômes de la maladie. De prime abord, on ne voit pas en quoi cela poserait problème. D’autant que ce principe en rappelle un autre, assez semblable, inventé à peu près à l’époque des premières vaccinations, par un certain Hahnemann. Une médecine longtemps parallèle dont on vient de nous expliquer qu’elle était devenue perpendiculaire. Une thérapeutique tellement douce qu’elle ne pouvait être qu’inefficace et donc charlatanesque : l’homéopathie. Avec la complicité de l’HAS et du Ministère de la santé, Big Pharma a finalement réussi à se débarrasser d’un concurrent redoutable car très apprécié par les malades en raison de ses bons résultats et surtout de son innocuité.

Alors comment comprendre qu’un produit naturel, comme un vaccin, administré en en doses infimes à un individu sain, puisse entrainer des conséquences aussi délétères. Justement, parce qu’il n’est pas naturel ! S’il l’était, il ne serait pas plus toxique que les petits granules vendus en tubes. D’ailleurs les doses d’Influenzinum en 9 CH, préviennent aussi efficacement la grippe saisonnière que le vaccin antigrippal, sans le moindre effet secondaire. En fait le problème des vaccins, c’est leur inefficacité spontanée. Si l’on se contentait d’injecter des parcelles de virus, les taux d’anticorps obtenus seraient le plus souvent insuffisants. Surtout que les microbes possèdent une arme redoutable. Ils sont capables de se transformer ! De porter, eux aussi, un genre de masque pour ne pas être reconnus par le système immunitaire. Alors, pour remédier à ce problème, pour booster les choses, on ajoute un adjudant. Presque systématiquement… Un métal lourd si irritant, si agressif, qu’il fait exploser la fabrication des immunoglobulines et améliore l’efficience vaccinale. Cependant, cette technique comporte deux inconvénients majeurs : d’une part, à force de stimuler nos défenses, elles finissent par s’attaquer à tout ce qui passe à portée de tir, y compris à nos propres organes ; on appelle cela des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques ou la thyroïdite, dont la fréquence augmente de façon exponentielle. Et, d’autre part, les métaux lourds se déposent dans le système nerveux provoquant des pathologies neuro-dégénératives telles que la maladie d’Alzheimer ou les démences apparentées. Ainsi, pour épargner des vies, on en sacrifie d’autres. Ceux qui dénoncent cela sont qualifiés avec dédain d’anti-vax alors que ce ne sont que des anti-alu. Leur combat ne doit pas s’être raillé par les pouvoirs publics car il est parfaitement légitime. Surtout quand on voit une ministre rendre obligatoires pas moins de 11 vaccins ! Et qu’il se dit que d’autres sont dans les starting-blocks pour s’ajouter à la liste. Pourtant il existe le phosphate de calcium comme potentialisateur à la place de l’aluminium. Utilisé systématiquement dans les vaccins vétérinaires, et en médecine humaine pendant 15 ans par le laboratoire Pasteur sans le moindre souci. Donc c’est possible et cela mettrait fin aux rumeurs, aux suspicions, aux angoisses et aux « mauvaises réactions ».

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